Il y a en France (statistiques officielles), 2 millions de
logements vacants.
Une bonne partie des propriétaires de ces logements, préfèrent
renoncer à un loyer, afin de s'exonérer du risque de
voir celui-ci occupé trois ans gratuitement, au bénéfice d'une législation protectionniste à l'excès.
C'est, en
particulier, le cas des petits propriétaires de logements
modestes, par nature pourvoyeurs de logements
sociaux qui assuraient une vraie mixité urbaine.
On les a
remplacés par nos offices de logements collectifs, promoteurs
d'un urbanisme collectiviste et ségrégatif.
Un retour sur le marché de ces logements vacants aurait le double avantage:
- d'éviter à l'Etat de dépenser les budgets pharaoniques d'une politique interventionniste.
- de permettre aux locataires de retrouver des conditions de logement sociales.
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