Le 17 novembre 2008 sous le N°
422, une PROPOSITION DE LOI visant à instituer une journée nationale
d’hommage aux victimes du communisme a été déposée à l’Assemblée
Nationale.
Son objet : l’instauration, le 9 novembre, date de la Chute du Mur de Berlin, d’une journée nationale d’hommage aux victimes des régimes communistes.
Elle s’inscrit dans des attendus clairs précisant notamment : « L’opinion publique est encore hélas très peu consciente des crimes commis par les régimes communistes totalitaires, et pour plusieurs raisons. Jamais les crimes commis au nom du communisme n’ont fait l’objet d’enquêtes ou de condamnations internationales, contrairement aux crimes commis par son jumeau « hétérozygote » selon l’expression de l’historien Pierre Chaunu, l’autre régime totalitaire du XXe siècle, le nazisme. L’absence de condamnation s’explique aussi en partie par l’existence de pays dont les gouvernements adhèrent toujours à l’idéologie communiste ».
Cette proposition de loi a été déposée à l’initiative du député du Tarn Bernard CARAYON, elle est signée par les Députés suivants : Bernard CARAYON, Yvan LACHAUD, Jean-Christophe LAGARDE, Benoist APPARU, Jean AUCLAIR, Brigitte BARÈGES, Jacques Alain BÉNISTI, Jean-Yves Besselat, Étienne BLANC, Claude BODIN, Philippe BOËNNEC, Marcel BONNOT, Valérie BOYER, Xavier BRETON, Bernard BROCHAND, Patrice CALMÉJANE, Joëlle CECCALDI-RAYNAUD, Édouard COURTIAL, Alain COUSIN, Olivier DASSAULT, Bernard DEBRÉ, Jean-Pierre DECOOL, Michel DIEFENBACHER, Dominique DORD, Gilles D’ETTORE, Marie-Louise FORT, Arlette FRANCO, Sauveur GANDOLFI-SCHEIT, Franck GILARD, Georges GINESTA, Claude GOASGUEN, François-Michel GONNOT, Jean-Pierre GORGES, François GROSDIDIER, Louis GUÉDON, Jean-Jacques GUILLET, Gérard HAMEL, Laurent HÉNART, Michel HERBILLON, Francis HILLMEYER, Charles de la VERPILLIÈRE, Marc LE FUR, Michel LEJEUNE, Jean-Louis LÉONARD, Lionnel LUCA, Richard MALLIÉ, Alain MARC, Thierry MARIANI, Jacques MYARD, Jean-Marc NESME, Philippe PEMEZEC, Didier QUENTIN, Jacques REMILLER, Francis SAINT-LÉGER, Bruno SANDRAS, Michel SORDI, Guy TEISSIER, Dominique TIAN, Christian VANNESTE, Patrice VERCHÈRE et Michel ZUMKELLER.
Son objet : l’instauration, le 9 novembre, date de la Chute du Mur de Berlin, d’une journée nationale d’hommage aux victimes des régimes communistes.
Elle s’inscrit dans des attendus clairs précisant notamment : « L’opinion publique est encore hélas très peu consciente des crimes commis par les régimes communistes totalitaires, et pour plusieurs raisons. Jamais les crimes commis au nom du communisme n’ont fait l’objet d’enquêtes ou de condamnations internationales, contrairement aux crimes commis par son jumeau « hétérozygote » selon l’expression de l’historien Pierre Chaunu, l’autre régime totalitaire du XXe siècle, le nazisme. L’absence de condamnation s’explique aussi en partie par l’existence de pays dont les gouvernements adhèrent toujours à l’idéologie communiste ».
Cette proposition de loi a été déposée à l’initiative du député du Tarn Bernard CARAYON, elle est signée par les Députés suivants : Bernard CARAYON, Yvan LACHAUD, Jean-Christophe LAGARDE, Benoist APPARU, Jean AUCLAIR, Brigitte BARÈGES, Jacques Alain BÉNISTI, Jean-Yves Besselat, Étienne BLANC, Claude BODIN, Philippe BOËNNEC, Marcel BONNOT, Valérie BOYER, Xavier BRETON, Bernard BROCHAND, Patrice CALMÉJANE, Joëlle CECCALDI-RAYNAUD, Édouard COURTIAL, Alain COUSIN, Olivier DASSAULT, Bernard DEBRÉ, Jean-Pierre DECOOL, Michel DIEFENBACHER, Dominique DORD, Gilles D’ETTORE, Marie-Louise FORT, Arlette FRANCO, Sauveur GANDOLFI-SCHEIT, Franck GILARD, Georges GINESTA, Claude GOASGUEN, François-Michel GONNOT, Jean-Pierre GORGES, François GROSDIDIER, Louis GUÉDON, Jean-Jacques GUILLET, Gérard HAMEL, Laurent HÉNART, Michel HERBILLON, Francis HILLMEYER, Charles de la VERPILLIÈRE, Marc LE FUR, Michel LEJEUNE, Jean-Louis LÉONARD, Lionnel LUCA, Richard MALLIÉ, Alain MARC, Thierry MARIANI, Jacques MYARD, Jean-Marc NESME, Philippe PEMEZEC, Didier QUENTIN, Jacques REMILLER, Francis SAINT-LÉGER, Bruno SANDRAS, Michel SORDI, Guy TEISSIER, Dominique TIAN, Christian VANNESTE, Patrice VERCHÈRE et Michel ZUMKELLER.
Mélanger le communisme et le national-socialisme, c'est une honte de voir ça pour le prof d'histoire que je suis...
Côté propagande mensongère, vous ne valez donc pas beaucoup mieux que ces régimes là. Ou alors, révisez vos cours d'histoire avant de publier n'importe quoi.
Bien à vous.
Rédigé par : Gulliver | 23 septembre 2009 à 23:13
Sans vouloir enlevant l'atrocité des gestes qu'a commis Hitler, ce dernier n'était aucunement communiste ! Le régime nazi était certes totalitaire, mais cela ne veut pas dire qu'Hitler était communiste. Il avait même une opinion plus que défavorable à leur égard...
Rédigé par : Marie-Kim | 05 décembre 2010 à 07:43
Arf ! Je pense que vous mélangez un peu tout sans vraiment comprendre... Les Nazis n'avaient de socialistes que le nom, et leurs crimes ont été perpétrés sur une période bien moins longue que les dictateurs soviétiques et chinois (ce qui n'excuse en rien leurs méfaits, mais mathématiquement il faudrait revoir votre procédure, cf. la banderole de propagande). Quitte à faire des journées de commémoration pour les morts, allons-y gaiement : L'Eglise s'est rendue coupable de pas mal de déboires au cours de son histoire, ne seraient-ce que les croisades, la police française a connu ses heures sombres (17 octobre 1961 à Paris, Malik Oussekine, pour n'en citer que deux), les victimes innocentes du système judiciaire se comptent par pelletées, des attentats perpétrés au nom de plus belles idées ont enlevé la vie de bon nombre de camarades, etc. etc. Bref on peut commencer à se mettre en deuil tout les jours avec vos plans là... Un parti pour pleurer, non merci, mes ancêtres et tous les morts auraient plutôt voulu que je me fende la gueule et profite de la vie.
Rédigé par : Tchoukiki | 18 avril 2011 à 23:02
Le nazisme et le communismes sont deux versions de la même idéologie.
Cette idéologie, basée sur un état fort et répressif, qui plannifie l'économie s'appelle le socialisme.
La différence entre les deux est l'objectif à atteindre avec les plans, mais ce sont bien deux faces de la même idéologie.
Rédigé par : tom | 21 octobre 2011 à 15:47
Un amalgame qui met -en France notamment- le résistant communiste torturé et/ou assassiné ( EX: Gabriel Péri, Guy Moquet, Jean-Pierre Timbault, Georges Politzer, Danièle Casanova, Marie-Claude Vaillant-Couturier, André Krasuky...) dans le même "camp" que son tortionnaire nazi et fasciste... il y a un probléme, non?
La critique et la condamnation politique du stalinisme...et la critique des socialismes de type soviètique est bien sur nécessaire;
Pourquoi pas une loi contre les crimes des guerres coloniales françaises!?
Rédigé par : divay pascal | 02 février 2012 à 13:50
Je pense que les militants de la 8ème circonscription feraient mieux de se concentrer sur ce qu'ont fait les communistes français.
Oui, ceux qui se prétendaient communistes en URSS, ou ailleurs (Corée du Nord) ont commis des agissements inqualifiables.
Quant aux communistes Français, ils n'ont rien à voir avec ces gens ... permettez moi de vous rappeler que les crimes commis par les communistes Français ont eu lieu dans les maquis, par les FTP par exemple.
A la Libération, qui a concrétisé les conventions collectives, les nationalisations de secteurs clés de l'économie, les retraites généralisées, la sécurité sociale, les droits des travailleurs dans les entreprises (comités d'entreprise), statut des mineurs, ... ... ?
Les ministres communistes Ambroise Croizat, Marcel Paul pour ne citer que ces deux là.
Que propose l'UMP ? Détruire cet héritage.
Soyez honnête intellectuellement, et ne comparez pas Hitler aux communistes qui -avec d'autres- sont morts pour que vive la France pendant que certains collaboraient, notamment dans le milieu du patronat ...
Rédigé par : Bayart | 06 juin 2012 à 19:00
Staline n'était pas un communiste mais un totalitaire. Pour preuve, il a éliminé pas mal de personnes au parti communiste et a envoyé beaucoup d'opposant dans les goulags. De plus il a mis en place un pouvoir personnel.
Ce qui montre, aussi, que Staline était un totalitaire, c'est le fait qu'il a mis en place la répression et la erreur pour mieux contrôler totalement la population.
En plus de cela, sa condamnation de l'égalitarisme et les privilèges qu'il accordait à la nomenklatura, alors que la majorité de la population était pauvre, montrent que Staline n'était pas un communiste.
Donc, on ne peut pas dire que les crimes de Staline sont des crimes commis par les communistes.
Rédigé par : ASF | 28 juin 2012 à 22:54
Un dirigeant du parti Nazi parlait de "Bolchévisme Brun" a son sujet. Il me semble que c'était Goebells
Rédigé par : David Gasnier | 13 août 2012 à 00:08