l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) ont créé, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont peuvent faire partie tous les membres de l’ONU et de l’OMM.
Un panel de scientifiques indépendants du GIEC , le NIPCC « Nongovernmental International Panel on Climate Change" vient de publier un rapport mettant en lumière les nombreuses insuffisances commises par le GIEC dans ses rapports successifs sur le changement climatique prétendument anthropogénique. Le document, traduit par Jean Martin (avec deux co-traducteurs) et mis en téléchargement sur son site (PDF), résume les principales objections formulées par de nombreux scientifiques du monde entier (plus de 110 travaux "sceptiques" cités) vis à vis du soi-disant "consensus" dont l'essentiel de notre presse nous abreuve de façon pluri-quotidienne.
Ces 50 pages (70 avec les annexes) se lisent facilement. Ce rapport souligne à quel point utiliser la pseudo-science du GIEC pour fonder des décisions politiques lourdes de conséquences économiques est dangereux.
Leurs principales conclusions:
"Ce rapport démontre donc que la contribution des émissions de GES (NdVB: gaz à effet de serre) au réchauffement actuel est insignifiante. En utilisant les données du GIEC publiées dans le rapport CCSP nous avons pu montrer que les températures observées sont en contradiction flagrante avec les modélisations numériques basées sur les évolutions des GES. Il est curieux de constater que l'IPCC n'ait jamais fait de telles comparaisons, sinon il aurait dû aboutir aux mêmes conclusions, à savoir : le réchauffement actuel est principalement d'origine naturelle plutôt qu'anthropogénique. Au contraire, l'IPCC campe sur ses positions à propos du réchauffement global, alors que les « preuves évidentes » ne résistent pas à un examen minutieux.
(...)
Si le réchauffement actuel n'est pas lié aux GES, quelles sont les causes naturelles qui peuvent produire les changements de températures observés pendant les périodes historiques préindustrielles ? Des observations empiriques montrent que les principales causes des variations de température à l'échelle décennale sont liées à l'activité solaire qui module le rayonnement cosmique lui même responsable en grande partie des variations de la nébulosité atmosphérique. Des publications rapportent également que les rayons cosmiques sont responsables de changements climatiques majeurs pendant les derniers 500 millions d'années de l'histoire paléo-climatique de la Terre."
Bonne lecture !
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