Les pérégrinations de la
flamme olympique sont l'occasion de dénoncer la dictature (que
l'on avait eu tendance à oublier), du parti communiste Chinois.
Personne ne s'en plaindra.
Plus étonnant, en revanche, est
l'engouement de notre opinion publique, (toutes confondues),
pour le Dalaï Lama.
C'est oublier que cette religion dont il est le chef a
tenu d'une main de fer la population Tibétaine dans un
obscurantisme et une misère médiévaux:
Le prix Nobel de la paix, en effet,
n'a pas jugé utile de dénoncer le servage, (ce qui
a été fait par... les Chinois en 1956) et classait ses
sujets dans une stricte hiérarchie de trois catégories et neuf classes.
C'est ainsi que cet apôtre du non-matérialisme possédait une
trentaine de résidences, quelques milliers de travailleurs et une centaine "d'employés" de
maison pas
vraiment volontaires.
C'est, enfin, sans compter que sa
sainteté n'a pas contredit le vocabulaire qui
veut que, en Tibétain, le mot femme signifie... inférieur.
Souhaitons aux Tibétains, que, à l'occasion, ils puissent enfin connaître un régime... démocratique.
publié dans Spécial Dernière
Tout à fait d'accord. Comme d'habitude on ne fait pas dans la dentelle : il y a les bons et les méchants, les Kosovars et les Serbes, les Tchétchènes et les Russes, les Palestiniens et les Juifs, les Tibétains et les Chinois etc
Rédigé par : Jacques Guillemain | 21 avril 2008 à 16:56
Au nom de toutes ces réflexions hautement philosophiques, il faut donc laisser le peuple tibétain se faire épurer. Pas besoin de réfléchir longtemps pour comprendre les motivations purement économiques de ce genre d'article.
Rédigé par : TZ | 13 août 2008 à 14:35