Il y a près de 70.000 logements vacants à Paris, les propriétaires, renonçant à louer
leur bien, du fait d'une législation déséquilibrée, protégeant le locataire, au détriment des droits du propriétaire et d'une fiscalité confiscatoire.
C'est, en particulier, le cas des petits propriétaires de logements modestes, par nature pourvoyeurs de logements sociaux qui assuraient une vraie mixité urbaine.
Loin d'en tenir compte, la municipalité finance la construction de logements sociaux, promoteurs d'un urbanisme coûteux, collectiviste et ségrégatif et d'une forme certaine de clientélisme.
Nous voulons :
Redonner confiance aux propriétaires-bailleurs : afin qu'ils puissent bénéficier de conditions de droit équivalentes à celles attribuées au locataire.
Remplacer l'aide à la pierre par l'aide à la personne : sous la forme d'un chèque-logement calculé en fonction des revenus et du nombre de personnes des ménages allocataires, ceux-ci seront libres d'utiliser cette aide pour financer un loyer ou un crédit sur le marché privé.
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